Invitation à la vie

Les koulaks étaient des paysans russes — aisés ou non — qui furent envoyés en masse au goulag.

Leur tort : posséder ne serait-ce que quelques poules, et/ou être supposés rétifs à l'ordre nouveau.

Brisons la glace

  • L’idée d’être broyés par les crises à venir vous turlupine ?

  • Vous n’en pouvez plus de la pression, de l’ambiance de fin du monde, des polémiques sur les réseaux, de voir votre budget fondre à vue d’œil ?

Vous avez raison de fantasmer une évasion. Tic, tac… Il devient urgent d’aller s’« écolocaliser ». Pour retrouver le sommeil et la maîtrise de votre vie, choisissez la pilule verte !

Nul besoin de quitter la France, d’investir dans un bunker ou de régresser au Moyen-âge. Embarquez seulement avec nous sur l’Arche prodigue de L’Archipel du Koulak.

Pour nous, la néoautonomie est d'abord une quête d’indépendance dans tous les sens du terme.

Le site survivaliste « Mouton Résilient » critique à juste titre les projets irréalistes, cause de déceptions coûteuses.

Il mentionne le témoignage du survivaliste Fernando Aguirre qui a vécu l’effondrement économique en Argentine : « La solution est de rester éloigné des villes et d’appartenir à un groupe. »

Ici, à l’ArchiKoul, nous ne vous proposons pas de rejoindre un écolieu au sens habituel du terme.

Aimer la nature, la simplicité, la fraternité, n’empêche pas d’être avisé : en période troublée, c’est même un devoir.

Nous vivons des temps dangereux, mais tout le monde n’a pas les moyens, ou le désir, de s’expatrier ni d’exfiltrer son épargne.

Qu’on ait quelques économies ou qu'on projette de quitter la ville en vendant son appartement, la démarche d’autonomie implique également de préserver ce que l’on possède.

1ère différence :

l’ordre des priorités.

2ème différence :

l’aspect patrimonial.

Un projet atypique parce qu’il vous invite à devenir, via une formule juridique de mise en sécurité de votre patrimoine, copropriétaire d’un hameau pas comme les autres.

Notre Archipel du Koulak est un projet de vie néoautonomiste, mais du genre atypique et paradoxal.

La liberté d’être et d’avoir (si peu que ce soit) passe avant la survie : que serait la vie sans liberté ?

Vous pourrez occuper cette maison, mais aussi y abriter des proches, ou la louer à une personne en recherche d’autonomie.

Et, comme nous le verrons plus loin, ce bien ne pourra pas vous être confisqué pour quelque raison que ce soit.

Il sera donc question ici d’un investissement *, peut-être le plus sûr et bénéfique de votre vie : accéder à une maison individuelle ou familiale dans un hameau résilient bien situé.

* Volontairement très accessible : il y en a pour tous les budgets et toutes les priorités.

L’Archikoul est aussi un projet paradoxal, car il vous permettra de cumuler des choix inconciliables a priori :

prévoyance et accomplissement ;

sobriété et abondance ;

indépendance et entraide ;

autoproduction et douceur de vivre.

Toutefois, l’autonomie, cela devrait aussi  être « maître chez soi », libre de s’impliquer avec les autres quand et comme on le peut, ou le veut.

Nous parions sur les qualités des candidats sélectionnés pour que tout fonctionne au mieux, sans contrainte mais de façon efficace et cordiale, comme c’est déjà le cas avec nos voisins et nos réseaux locaux.

Si vous souhaitez transplanter votre famille dans un terreau propice à son épanouissement...

Si, au-delà d’un potager permacole dans un lieu partagé mais non collectiviste, vous souhaitez cultiver des relations humaines plus authentiques, plus nourrissantes…

Vous êtes au bon endroit.

À notre époque, être tranquille jusqu’à la fin de ses jours nous paraît être un luxe infiniment désirable.

L’union et l’entraide font la force. Les liens humains sont un élément fondamental du bien-être.

Alors si vous rêvez d’une vie plus naturelle, sans aller jusqu’à faire vœu de pauvreté...

On ne fait rien tout seul